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L’urbanisation documentaire selon Groupe T2i [powered by Odienz]

L’urbanisation documentaire est l’ensemble des processus qui constituent le patrimoine documentaire d’une organisation. Cette discipline harmonise les flux documentaires au sein d’une organisation, entre production de masse (comme la génération de factures) ou unitaire (comme la rédaction d’un mail), traitement et réception de l’information.

Cette logique de production & réception des informations pourrait inspirer l’urbanisation des systèmes d’information, quand bien même peu de liens sont faits aujourd’hui entre ces deux thématiques complémentaires, souvent traitées par des équipes distinctes. L’urbanisation documentaire constitue en effet un bon point d’entrée pour une réflexions sur les SI, puisqu’elle reflète l’expérience utilisateur, client et collaborateur.

Article à lire

Découvrez dans cet article publié par Groupe T2i, société romande experte dans la transformation digitale, comment mettre en place L’URBANISATION DOCUMENTAIRE, DE LA PRODUCTION À LA RÉCEPTION D’INFORMATION au sein de votre entreprise. Les PME devraient s’y intéresser pour le gain en efficacité des collaborateurs et l’augmentation de l’expérience client!

Remerciements

Merci à Groupe T2i pour l’interview qui a permis la rédaction de l’article, ainsi que pour l’image qui illustre cette page.

[PRESS REVIEW] HR Today – Interview de Caroline De Allegri

Caroline De Allegri a posé les bases de plusieurs fonctions RH dignes de ce nom dans des institutions semi-publiques du canton de Vaud. Elle est surtout appréciée pour sa délicatesse et sa sincérité.

Sa capacité d’écoute et son authenticité se tiennent dans un mouchoir de poche. Elle maîtrise l’une et l’autre à merveille. Son partenaire de vie et d’affaires, Marco Brienza, raconte cette anecdote: «Elle a été mandatée un jour pour un licenciement. La situation était délicate et la tension forte. Elle a écouté et a su trouver les bons mots. Quelques semaines plus tard, la personne licenciée lui téléphonait pour la remercier!» Voici donc Caroline De Allegri, responsable RH à temps partiel à l’association ARAS Nyon (social) depuis 2018 et consultante au cabinet Odienz, qu’elle a créé en 2016 avec son compagnon. Une femme à poigne dans un gant de mérinos. Elle-même se décrit plutôt comme une transformatrice RH. Et dit aimer profondément les gens et la justice.

Elle entend, écoute et soutient mais souhaite avant tout donner les impulsions pour faire grandir l’autre et l’organisation. Elle nous accueille fin août à l’espace de coworking La Serre dans le quartier des Fiches-Nord à Lausanne. Elle est «un peu stressée». Elle sourit: «Je n’ai pas l’habitude d’être dans la peau du candidat».

Nous sommes là pour parler des ingrédients de base d’une fonction RH professionnelle. Au fil des ans, c’est devenu sa marque de fabrique. Caroline De Allegri a mis sur pied les services RH de trois institutions semi-publiques du canton de Vaud. A chaque fois, elle arrive, elle observe puis elle construit en partant de l’existant et toujours en partenariat avec les équipes.

Coup de bluff

Sa première mission démarre sur un coup de bluff. Fraîchement diplômée en psychologie du travail de l’Université de Neuchâtel, elle envoie une offre spontanée à la Fondation Asile des aveugles pour un poste d’assistante RH. «Je n’avais aucune expérience», confie-t-elle. Paul Sarbach, le directeur de l’époque, dit oui. Le patriarche dirige cette institution, avec un service du personnel dont la mission consiste principalement à gérer l’administration des salaires et des assurances sociales.

«A mon premier jour, je crois qu’ils avaient oublié ma venue…». Le patron l’installe dans un bureau vide et lui propose de revoir les statuts du personnel. «J’ai donc été plongée dans le bain dès le début. L’Asile des aveugles est une fondation privée reconnue d’utilité publique, une organisation complexe, avec plusieurs ramifications et une longue histoire.» Elle découvre une institution attachée à son histoire, un paquebot à plusieurs étages avec plus de 25 métiers. Y règnent le mythe des carrières à vie et des pratiques de recrutement exotiques. «On m’avait demandé par exemple de ne pas retenir les candidats qui avaient collé plus de deux timbres sur leur lettre de motivation!» Avec habileté et profil bas, elle commence par observer les dynamiques, à tisser des liens et créer des alliances.

Elle parvient rapidement à rassurer la responsable des salaires, qui ne comprenait pas comment une femme sans expérience puisse gagner 5000.- par mois. Caroline De Allegri lui fait allégeance, apprend et ose faire bouger les lignes. «J’ai commencé par mettre en place un processus de recrutement professionnel, avec des annonces-type, des compétences à cibler et de l’objectivité dans la sélection des dossiers. Elle instaure aussi un partenariat avec les acteurs du terrain. Une opération pas toujours évidente dans le milieu hospitalier. Elle ose: «Les médecins pouvaient avoir des égos surdimensionnés. Ce n’était pas évident de recruter leurs assistantes. Ne pas cacher les exigences de certains docteurs tout en mettant en avant l’attractivité du poste.» Les choses ont un peu changé depuis, précise-t-elle.

«Je fais ce que je dis»

Comment fait-elle pour trouver sa place dans ce panier de crabes? «Je dis ce que je fais et je fais ce que je dis, cela crée la confiance», répond-elle du tac au tac. C’est son côté ferme. Après le recrutement, elle met en place un processus d’accueil (lettre d’accompagnement, contrat, documents d’accueil et une feuille de route à suivre pour le 1er jour, la première semaine et les trois premiers mois.) «Ma spécialité est la simplicité. Formaliser par écrit et avoir une trace, oui, mais le tout doit rester facile et compréhensible.»

Son processus d’onboarding inclut une visite guidée de toute l’organisation. Elle commente: «Le fait de se déplacer dans les différents lieux de l’institution a permis de rapprocher les gens, de briser les silos et d’insuffler de la transversalité dans les pratiques. Un hôpital devrait être une équipe multidisciplinaire avec le patient au centre. Ce n’est pas toujours le cas…».

Elle s’attaque ensuite au processus d’évaluation qui manque de ligne de conduite. Afin de comprendre et d’identifier les pistes, elle s’invite aux entretiens et observe. Résultat: les bruits de couloir sont justifiés. Le processus ne résolvait pas toutes les situations et encore moins les cas critiques. «J’ai donc tout stoppé, le temps de former le management et de revoir le processus.»

Petit à petit, le service du personnel se professionnalise. Avec l’arrivée du nouveau directeur, Yves Mottet (le prédécesseur de Vincent Castagna, en place aujourd’hui), l’institution engage une DRH (Françoise Riem- Vis) et étoffe l’équipe RH. Elle se souvient: «On m’avait proposé de reprendre la direction RH mais j’avais besoin de quelqu’un au-dessus de moi pour me nourrir. Avec Françoise, nous avons revu la formation des managers, mis en place un dispositif de gestion des conflits, créé une politique de santé au travail, décrit tous les processus RH dans le cadre de la démarche ISO et développé une approche Business Partner.»

L’équipe RH grimpe à 8 personnes en 2013. Elle décide de relever un nouveau défi.

Structure et méthode

C’est la Fondation La Pouponnière et l’Abri de Lausanne (250 collaborateurs) qui l’engage. Le directeur Bruno Dell’Eva apprécie surtout son expérience avec ISO. Elle raconte: «Ce n’est pas le label qui l’intéressait, plutôt un besoin de structure et de méthode.» A son arrivée, la Fondation fonctionne principalement de manière décentralisée: l’enjeu est de pouvoir créer des ponts entre les différents services, d’harmoniser et de simplifier les pratiques. C’est dans cet esprit qu’elle réfléchit à l’organisation des remplaçantes internes afin de respecter les quotas très stricts en termes de garde d’enfants en bas âge.

A nouveau, elle commence par écouter. La fonction d’éducatrice remplaçante est relativement mal valorisée, avec un taux de rotation élevé. Cette incertitude provoque des tensions dans les équipes. Depuis son arrivée, Caroline De Allegri s’est adjointe d’une assistante RH, d’une recruteuse et d’une cheffe de projets RH. Ensemble, elles créent et forment un pool de remplaçantes internes afin d’assurer la prestation. «Créer une fonction RH, n’est pas seulement une affaire de processus», dit-elle. Au gré des échanges et des ajustements mutuels, la sauce prend et l’organisation en ressort plus soudée, plus apaisée. A l’aise sur des sujets plus techniques, elle s’est également engagée à l’évaluation des modalités de mise en œuvre d’un SIRH.

Mission accomplie, elle rejoint ensuite l’Association ARAS Nyon qui lui propose un poste de responsable RH

à temps partiel (un 50% qu’elle occupe encore aujourd’hui). «J’avais aussi envie d’avoir plus de temps pour mes activités de conseils RH.» Du côté de l’ARAS Nyon, c’est tant sa personnalité que sa capacité à professionnaliser l’unité RH qui a séduit. Caroline De Allegri incarne la transformation de la fonction RH dont tout le monde parle depuis vingt ans. Elle dit: «Ce que j’aime, c’est d’emmener les RH d’une approche employé de commerce et chiffrée» vers une meilleure compréhension de l’humain en interaction avec les autres dans un environnement de travail. C’est une tâche subtile, comparable à l’éducation d’un enfant. Cela prend du temps, exige de la répétition, avec sincérité et conviction.»

Nous touchons là au cœur du style De Allegri. Elle détaille: «J’aime les gens. Je parviens toujours à voir chez l’autre un point commun, une porte d’entrée vers la relation ou la situation. C’est ma nature profonde.

J’ai toujours eu cette curiosité de l’autre. A la base, les gens ne sont pas mal intentionnés. Mon rôle est de déconstruire et de comprendre.»

A l’association ARAS Nyon, elle siège au comité de direction, avec le directeur, la responsable finances et la secrétaire de direction. «Nous avons une bonne cohésion et une vision commune, essentielles pour créer une fonction RH cohérente.» Dans ce nouveau job, le défi consiste à mettre au goût du jour certaines pratiques et questionner des habitudes. A nouveau, elle prend le temps d’écouter et ose aussi mettre le doigt sur les sujets plus délicats. «J’ai toujours été assez réactive. Si je sens un malaise, j’en parle tout de suite. Si ce n’est rien tant mieux, mais ce n’est rarement rien.»

Trouver sa voie

Elle tire cette réactivité de son père, un self-made man, entrepreneur touche-à-tout dans le secteur informatique, as de la vente et du développement d’affaires. Le grand-père paternel a fondé l’entreprise Clotura (fabricant de clôtures, depuis revendu et renommé Clotura New Tec SA). De sa mère, issue d’une famille d’agriculteurs, (femme au foyer et secrétaire), elle apprend le non-jugement, la douceur et la simplicité. Caroline De Allegri est l’aînée de trois sœurs. Elle étudie les langues modernes au gymnase de Chamblandes à Pully et choisit ensuite la psychologie du travail à Neuchâtel, car «je voulais devenir orienteuse professionnelle».

Mère d’une fille de douze ans, elle est passionnée de quête intérieure, pratique le yoga et s’inspire de méditations. En guise de formation continue, elle consomme des coachings, des livres et des TedTalks, avec un intérêt marqué pour le développement personnel. L’entretien touche à sa fin.

Une dernière question: une fois la fonction RH en place, quelle est l’étape suivante? Elle réfléchit longuement: «Tout le monde parle aujourd’hui de transformation digitale. A mon avis, celle-ci se fera uniquement si vous transformez d’abord l’individu. De mon point de vue, la fonction RH devrait accompagner les individus dans cette transformation intérieure. Les RH sont souvent instrumentalisés par les financiers pour augmenter le profit. Je ne suis pas de ceux-là.»

Texte: Marc Benninger, Rédacteur en chef de la version française de HR Today depuis 2006.

 https://www.hrtoday.ch/fr/print/4519430 3/4

[PODCAST] Smart flooring, tout se passe sur le terrain – Interview avec Wiktor Bourée (Technis)

“Notre vision est de devenir le Google Analytics des infrastructures, sans être intrusif.” Wiktor Bourée, fondateur et CEO de Technis

 

En partant d’un sol connecté et d’une intelligence artificielle embarquée, la société suisse Technis décrit en temps réel les événements qui se déroulent dans un environnement donné. Du sport à la santé, en passant par la gestion des installations ou la sécurité, le smart flooring as a service trace de manière efficace, mais ne fâche pas.

C’est au cours d’une partie de tennis avec un ami, en 2014, que l’idée centrale de Technis a jailli : un sol intelligent qui permettrait d’affirmer sans équivoque – même à deux mauvais perdants – que la ligne de terrain a bien été franchie.

Après plusieurs prix entrepreneuriaux gagnés en 2015 et un démarrage de Technis focalisé sur le marché du sport/tennis, c’est en 2017 que la start-up décide d’adapter sa technologie aux bâtiments: une fine couche de capteurs sous le sol associée à de l’intelligence artificielle (IA) permet la captation et l’interprétation en temps réel de big data liée aux déplacements d’individus dans les infrastructures. Pivot gagnant, puisque le sol connecté fait mouche dans plusieurs secteurs d’activité. A ce jour, plus de 200 bâtiments ou lieux dans 6 pays ont fait appel à un système de comptage via sols connectés développé par Technis. Cela représente plus de 20+ millions de contacts déjà comptées.

Son bachelor (EPFL) et un master (ETH) en chimie réussis, Wiktor Bourée a séjourné à Harvard pour y développer un filtre à eau à l’échelle industrielle. De retour en Europe, il commence un doctorat en chimie à l’EPFL tout en pratiquant le tennis à ses heures perdues. À 28 ans, il dirige une PME composée de 22 collaborateurs répartis dans ses bureaux en Suisse et en France.

Retrouvez les questions de l’interview ainsi que tous les podcasts d’Odiolab sur Anchor.fm/Odiolab

[EXPERIENCE] Méditation assise de 12 min.

Dans le tourbillon de la vie professionnelle, offrons-nous une oasis de paix: une méditation assise de 12 minutes guidée par la voix de Lothar Bielke, enseignant MBSR (Mindfulness-based Stress Reduction). Installez-vous confortablement: nous vous souhaitons une bonne méditation.

La curiosité, quel joli défaut!

Sur le terrain des ressources humaines depuis plus de 15 ans, j’ai observé dès mes 1ères expériences professionnelles que les situations les plus étriquées s’articulent autour de la coopération. Notre environnement actuel est complexe et mouvant : il amène états d’esprit, cultures, représentations, priorités, contraintes, générations et aspirations à se côtoyer pour souvent s’entrechoquer, ce qui rend l’enjeu de taille.

Apprenti-Sage

Ce constat s’est renforcé d’année en année et je le vois aujourd’hui comme une évidence : la connaissance de Soi comme clé du rapport à l’Autre. Pour orienter correctement le sens de sa tâche au sein d’une équipe, il est nécessaire de (re)connaître ses forces mais aussi ses limites, tout comme savoir les communiquer.

Cet apprentissage n’a jamais été une mince affaire! Dans un contexte en pleines digitalisation et accélération, il devient une véritable gageure. Le professionnel d’aujourd’hui manque ainsi de repères et de ressources pour y faire face.

En cours de développement personnel

D’importants budgets sont débloqués au sein des organisations pour répondre à ce besoin : cours de communication, PNL, systémique mais également coaching personnel, d’équipes, supervisions ou autres approches d’accompagnement. Ces budgets ne seraient-ils pas plus appropriés pour développer les compétences en amont, dès l’enfance ?

Raisonner par soi-même fournit des outils indispensables à une vie d’adulte et de professionnel responsable, concerné par l’autre. Prendre conscience de sa pensée, c’est avancer dans la connaissance de soi (le fameux « Je pense, donc je suis. », merci René).

La philosophie, un art de vivre de l’école au travail

Forte de ces considérations, j’ai eu envie de m’outiller pour intervenir en amont et donner l’opportunité aux jeunes de développer leur esprit critique tout en s’enrichissant du point de vue de l’autre, sans entrer dans une logique de confrontation. C’est ce que j’ai récemment appris à la formation SEVE (Savoir Être et Vivre Ensemble).

Par le biais d’ateliers philosophiques, l’animateur SEVE amène les enfants à construire et déconstruire leurs idées et opinions sur des thèmes aussi variés que “A quoi sert Internet?” ou “Est-ce que je veux devenir immortel?”. Les questionnements nourrissent ce mouvement naturel de la nature humaine qu’est la curiosité et amènent nos enfants à développer leur discernement, au-delà de la pensée mécanique.

D’après le rapport Future of Jobs 2018 édité par le Forum Economique Mondial (WEF) parmi les aptitudes jugées essentielles figurent la résolution de problèmes complexes, la pensée critique et créative, la facilité à se coordonner avec les autres, la capacité de jugement.

J’ambitionne modestement de planter quelques graines qui pourront au travers de leurs expériences de vie faire germer les compétences clés de demain. Une affaire à suivre cet été.

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Etude pAIrspective – l’épilogue & le podcast

Ce projet d’étude sur les besoins en Intelligence Artificielle (iA) des sociétés suisses a en réalité germé en juin 2017, avec l’avènement de la conférence Swiss AI Day organisée à Berne par InnoBoost et Groupe T2i: Odienz s’affairait alors aux interactions et à la visibilité du #SwissAIDay dans les médias sociaux.

Un an plus tard, les préparatifs pour l’étude pAIrspective battent leur plein. Une fois les partenaires essentiels au financement de l’étude, à sa rédaction et à sa diffusion dénichés – un merci tout particulier à Business&Decision Suisse, Calyps et IBM Suisse pour leur participation active – restait à lancer le questionnaire pAIrspective sur le marché suisse.

Plus de 110 personnes ont participé au sondage en ligne à travers le pays. En Suisse romande, les événements auxquels nous avons participé (conférences sur l’iA, événements data et même une pièce de théâtre à l’Octogone de Pully) nous ont aidé à rencontrer un public curieux et averti.

Dès novembre 2018, il fut temps d’analyser les réponses des sondés et d’y ajouter l’avis d’experts en iA. Le livre blanc pAIrspective fin prêt, quatre professionnels de la data se retrouvent en mars 2019 à l’EPFL Innovation Park autour du micro de Marco Brienza & Jérémie Wagner pour un nouvel épisode d’Airccelerate podcast à découvrir dès maintenant (cf. ci-dessous) en même temps que l’étude pAIrspective, téléchargeable gratuitement ici!

Dans cette interview d’Airccelerate, WarcoBrienza & JeremieWagner reçoivent Jérôme Berthier (Empowerment Foundation)Paul Wang (High-Tech BridgeMt-PelerinIcon.ngo), Sandro Saitta (Swiss Data Science Center) ainsi que l’instigateur du projet, Lionel Clavien (CTO d’InnoBoost).

Jérôme Berthier travaille comme vice-président de l’Empowerment Foundation; il a préalablement dirigé l’une des plus importantes société IT de Suisse, ainsi qu’un Innovation Lab;

Paul Wang est advisor stratégique en matière de cybersécurité et de gestion des risques, il est également membre de l’advisory board de Mt-Pelerin (projet blockchain dans la création de la banque du futur, combinant crypto-économie et finance traditionnelle) et de High-Tech Bridge (société spécialisée dans la détection des failles cybersécurité utilisant l’intelligence artificielle), il est aussi membre de la direction de Icon.ngo ( organisation non gouvernementale qui fédère une communauté européenne travaillant sur la confiance dans le cyberespace);

Sandro Saitta a 10 ans d’expérience dans l’application de la Data Science dans des industries telles que la finance, les télécommunications, la chimie, les voyages en ligne et la vente au détail. Il est actuellement Chief Industry Advisor au Swiss Data Science Center. Sandro est titulaire d’un doctorat en informatique de l’EPFL et a fondé la Swiss Association for Analytics pour promouvoir la Data Science en Suisse;

Lionel Clavien est l’auteur d’une thèse sur les robots mobiles autonomes, l’initiateur du livre blanc “L’Intelligence Artificielle en Suisse et en 2019” ainsi que le CTO d’InnoBoost, dont le coeur de métier est l’intégration de “briques d’IA” dans les infrastructures IT de sociétés cherchant à valoriser les données qu’elles traitent.

Retrouvez les notes complètes de l’émission, ainsi que tous les podcasts sur www.airccelerate.com – Photo: empowerment.foundation.

L’IA en Suisse: interview avec Lionel Clavien

La Suisse se distingue par une absence d’initiative politique concrète autour du soutien à l’IA” Lionel Clavien, cofondateur & CTO d’InnoBoost

Dans cette nouvelle interview d’Airccelerate podcast, Marco Brienza s’entretient avec Lionel Clavien, cofondateur de la société InnoBoost basée à l’EPFL Innovation Park. La transformation digitale est partout et, avec elle, l’avènement de l’intelligence artificielle (IA). Mais, concrètement, où en sommes-nous aujourd’hui en termes de solutions IA? Et de besoins clients?

Deux questions auxquelles s’est intéressé Lionel Clavien, auteur d’une thèse sur les robots mobiles autonomes et CTO d’InnoBoost, dont le coeur de métier est l’intégration de “briques d’IA” dans les infrastructures IT de sociétés cherchant à valoriser les données qu’elles traitent, voire simplement à mieux les utiliser.

Cet épisode d’Airccelerate est aussi l’occasion de vous présenter pAIrspective 2018, étude en ligne sur les besoins des PME suisses en intelligence artificielle.

Le Corporate Venturing: interview avec Tatjana de Kerros

L’innovation constitue un des moteurs privilégiés d’une croissance saine et profitable à long terme.

Mais comment (s’)investir sans y laisser des plumes? Une question que se posent des multinationales comme Coca Cola Beverages aux US ou La Poste en Suisse.

Une réponse intéressante vient du Corporate Venturing (CVC), pratique qui consiste à réaliser un investissement financier dans des startups prometteuses souvent en lien avec son propre domaine d’activité.

Pour creuser le sujet, la flamboyante Tatjana de Kerros m’a fait le plaisir d’une visite à Lausanne, dans les locaux d’Airccelerate podcast situé à La Serre coworking.

Nous avons même eu droit au cabinet et à ses stores intérieurs rétractables! L’occasion rêvée pour que Tatjana nous raconte son parcours dans le monde des affaires, entre Maroc, Emirats arabes et Europe, avant de revenir en Suisse.

Entrepreneuse aguerrie, Madame de Kerros figure parmi les 5 femmes de moins de 45 ans à avoir collaboré avec les hautes sphères du gouvernement saoudien. Des Pays-Bas aux Emirats – en passant par Ricolab en Suisse – elle soutient enfin les startups comme mentor, tout en restant férue de technologies (click & mortar, blockchain, AI).

Les notes complètes de l’interview ainsi que le podcast audio sont disponibles ici:

Podcast: Téléchargement